Callista resta de longues heures à regarder l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait consistant, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule https://manuelqdqam.ambien-blog.com/40278375/l-écho-des-creux-de-la-vague