Dans les rues silencieuses d’Edo, l’ombre du sanctuaire d’Onmyō s’étirait par-dessous la explication vacillante des lanternes. Maître Seijuro, Onmyōji illustre, étudiait un épine d’I Ching sous la luminosité tamisée des bougies. Les bâtonnets de millepertuis, disposés en fonction de un commande propre, formaient des hexagrammes inquiétants. Le ciel et la https://lanejcreq.tinyblogging.com/les-fréquents-inversés-du-destin-77540142