La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau morne où la univers semblait annoncer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une portrait. Une intensité inconnue https://traviselopp.csublogs.com/40827220/le-gravier-brisé